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24,82 km * 1:20:13 * 18,94 km/h

Ha, enfin la journée sans voiture!

On avait beau être crevé du voyage de la veille, comme il faisait beau, on a pas pu résister à l’appel de ses rues vides de voitures, remplies de vélos, piétons et de bonne humeur!

Petit tour d’une vingtaine de kilomètres seulement, car on a du boulot qui nous attend…

15,33 km * 1:10:30 * 14,33 km/h

Et voila que nos vacances se terminent. Déjà!!! Ca passe trop vite.

On décide donc d’aller à Saint-Cirq-Lapopie. N’ayant pas le temps d’y aller en vélo (80 km environ aller simple), on s’arrête à Bouziès, pour y emprunter le chemin de halage le long du lot, creusé dans la falaise.

Vraiment magnifique! Un peu difficile (surtout pour moi) car le sol est quelque peu accidenté, très lisse, et que l’eau est toute proche!

Une fois que l’on quitte ce chemin, c’est la montée vers Saint-Cirq. Wow la vue est superbe, ca fait mieux avaler la montée!

Bouzies
Les falaises à bouzies

Après avoir mangé à St-Cirq et nous être balladé, on continue la route pour monter tout en haut de la colline, de l’autre côté du village, ce qui nous permet d’avoir une vue plongeante, notamment sur l’attroupement de touristes en haut de l’ancien fort!

Ensuite on redescend, puis reprend le chemin de halage. Vraiment sympa d’ailleurs.

35,66 km * 2:14:18 * 16,49 km/h

Aujourd’hui on part à l’assaut des Dolmens! Depuis Prayssac part un circuit qui permet de voir bon nombre de Dolmens, gariottes et autres curiosités pré-historiques.

Pour faire comme à notre habitude, on se perd un petit peu, on ne trouve pas le point de départ! Après nous être renseigné, on se dirige vers le nord, on sort de Prayssac, on croise deux dames qui nous souhaitent bon courage… Ha bon, pourquoi? Peu de temps après on comprend pourquoi! On se retrouve devant un « mur »! On est dans l’obligation de mettre pied à terre à la moitié… A côté de ca, le col su Soulor, c’est facile!!!! Ici, c’est court mais intense!

Finalement on remonte en selle et termine cette ascension…

Ensuite on roule sur des sentiers fait de grosses pierres, pas facile. En plus ca monte, ca descend, très technique, on ne s’attendait pas trop à ca.

De temps en temps, une flèche nous invite à quitter le sentier principal pour nous enfoncer dans la forêt pour y voir le siège de César, un dolmen ou une gariotte.

gariotte dolmen
Vue de l’intérieur d’une gariotte et un des dolmens

La première fois on l’a fait en tandem, ensuite on laissera le tandem sur le sentier pour y aller à pieds…

Après quelques kilomètres, on arrive à la fin du parcours, quand même assez sportif en Tandem, mais très chouette.

Descente sur Prayssac et retour « à la maison ».

30,81 km * 1:48:55 * 17,78 km/h

Pour ici, pas de parcours vtt balisé, on va donc faire beaucoup de route, ce qui n’empeche pas d’être dur, car ca ne fait que monter et descendre. D’accord après les pyrénées, ca parait facile, mais quand même!

Petit tour dans les environs pour montrer un peu le pays à mon capitaine.

On s’amuse bien à descendre dans la vallée, mais on a froid! Le soleil est là, timide et pas encore réchauffant, donc avec la vitesse et sur le versant ombragé de la colline, il fait franchement caillant!

On pousse jusqu’à Puy-l’Eveque, charmant village surplombant le Lot.

paysage lottois
Sur la route de Puy-l’Eveque

Puis on a juste le temps de rentrer pour manger!

10,59 km * 0:50:30 * 12,75 km/h

Dernier jour, on se réveille et il fait splendide! On ne vas pas laisser passer ca, il faut aller refaire le parcours du Soulor, cette fois ce sera beau!

On part en voiture cette fois, on a pas le temps de monter en tandem. Et effectivement c’est autre chose ! Magnifique ! Enfin on y voit quelquechose ! On fait plein de photos, mais on ne peut pas trop tarder car on doit partir.

Soulor
Voilà à quoi ca ressemble quand il fait beau!

On fait un autre parcours plus facile que celui fait deux jours avant, car moins de dénivelée et dans l’autre sens.

26,99 km * 2:04:42 * 13,55 km/h

Je voulais absolument voir un lac de montagne et vu qu’il y en avait un au village d’à côté…

Mais bon le village d’à coté il est séparé par un col! Tant pis on y va !

Le temps est vraiment pas beau, mais on se dit qu’avec un peu de chance ca va s’arranger !

On avait penser faire l’ascension du col via une piste vtt, mais on fait demi tour assez vite, surtout qu’on ne sait pas trop ce qui nous attends après…

Donc par la route jusqu’au lac.

Ca monte évidemment, mais moins que la veille. Ca ne paraît pas facile quand même, mais c’est moins dur! Et puis une fois au col, la descente vers Estaing est super.

Arrivés à Estaing, on remonte vers le lac, hé oui! c’est ca la montagne. Mais là ca paraît très court et ca monte moins!

Le lac est sympa, mais bondé à cause de la fête de la transhumance.

estaing
le lac d’Estaing

On contemple tout ca, on mange près de l’eau.

Et puis le même parcours en sens inverse: descente, montée (dur dur), et descente!

27,50 km * 2:19:15 * 12,13 km/h

Allez c’est bien pour ca qu’on était venu, pour faire un col!

Par mesure de sécurité on change les plaquettes de freins… On se rendra compte en arrivant en haut du col qu’on a tout monté avec les freins qui frottaient.. Bien!

Le soulor depuis arrens, c’est 7 kilomètres de montée à 8% de moyenne (600m de dénivelée). Et c’est parti!

Après 3 kilomètres on est mort, partis trop vite ; on est essouflé. Une petite pause, un coup d’isostar et on repart à 7 km/h de moyenne, on a l’impression qu’on avance pas, et pourtant si! Car après une heure environ on y est et c’est gai! On a de la chance, il y a des nuages, on vient d’ailleurs d’en traverser un, mais quand on arrive on y voit clair ! le paysage est très beau.

soulor
A quelques lacets du col du Soulor

Après avoir mangé et bu on part faire un parcours vtt qui est, l’hiver, une piste de ski de fond. Après 2km on s’arrête et on écarte ces foutus freins. Haaa ca va mieux!

Le parcours est sympas mais on ne profite pas vraiment des magnifiques panoramas annoncés, il fait plutot blanc !

Après avoir bouclés ces 10 kilomètres faciles, on redescend ! Là c’est gai! Jamais en dessous de 40, on fait quand même gaffe parce que ca tourne plutot fort! On ratrappe même une voiture sur la fin et restons coincés derrière elle jusqu’au village! Mais qu’est-ce qu’il fait froid en descendant ! J’ai le bout des doigts gelés et j’ai mal aux poignets à cause des freinages ! Mais ca valait le coup !

9,87 km * 0:48:19 * 13,06 km/h

Piste Vtt « Le bas de la vallée »

Ayant acheté le guide topographique Vtt avec parcours balisés de la région, on tente rapidement en fin de journée un parcours jugé comme facile techniquement et physiquement qui consiste à faire le tour du bas de la vallée d’Arrens-Marsous. Début effectivement très facile, même si on doit mettre pieds à terre à cause d’un trou dans lequel on serait resté coincé !

On monte pas mal, joli point de vue entre deux sapins sur le village.

Et puis on entame la descente vers Arrens, là ca se complique, virages très serrés, c’est bien simple le tandem ne passe pas, rochers glissants, grosses pierres,… On doit descendre de monture! Après ce passage un peu technique, on remonte en selle et terminons ce parcours avec une moyenne pas très glorieuse. Pour un parcours facile ça promet!

52,37 km * 2:56:27 * 18,01 km/h

Pas trop chaud, un peu nuageux.

Après s’être bien paumé dans les quartiers forts peu engageants qui entourent le désert et avoir passé la nuit dans un hôtel très cher et pas spécialement génial, on y était enfin. Cela dit, le matin même j’ai cru qu’on devrait faire demi-tour, faute de trouver l’entrée. Vraiment comme-ci on faisait en sorte que les gens n’y arrivent jamais!

Après 9 km de caillasses qui frappait le bas de la carrosserie de notre voiture nous voilà enfin à l’entrée la plus au nord. Là on trouve enfin une carte qui reprend même les itinéraires Vtt! Du coup on se rend compte qu’on n’est pas au meilleur endroit et reprenant la voiture pour rejoindre El Paso, d’où partent plusieurs itinéraires, dont celui que l’on veut faire et qui fait le tour du polygone de tir. Les « villages » que nous traversons sont du même style de Valtierra et Arguedas. Arrivés à El Paso, nous voyons d’autres voitures, c’est rassurant. Principalement des francais.

Et là c’est parti, nous mettons les roues à Tttim et partons à l’assaut des 48km annoncés. Il fait chaud, mais pas trop et il y a toujours cette brume qui persiste.

Après quelques kilomètres nous recroisons le camping-car francais qui nous dit qu’un pont s’est effondré un peu plus loin et qu’on ne passe pas. En vélo peut-être. On tente le coup, et effectivement il y a un gros trou dans le route de 4/5 m. Sur le côté gauche on voit que d’autre vélo sont déjà passé par la! On fait comme eux, c’est de la glaise, ca glisse mais on passe. Portage obligé. On mange et bois un petit coup.

bardenas
Portage au Bardenas

Et on repart, le paysage est impressionnant, vraiment. Ca descend pas mal, on pense déjà au retour qui s’annonce dur!

On arrive au polygone. Des panneaux annonce des trucs en espagnol, on comprendra après qu’en fait on ne pouvait pas passer!

Le tour est très chouette, on croise d’autres cyclistes au sud du polygone. Dommage que le ciel soit un peu triste, ça manque de soleil franc tout ca!

Certains passages sont un peu difficiles, mais on passe.

Le retour n’était pas si difficile que ca finalement.

bardenas
Paysage des bardenas

De retour, notre compteur indique 53km… On hésite à rester un jour de plus pour aller voir le sud du désert qui à l’air plus accidenté sur la carte. Mais finalement on préfère remonter vers les pyrénées. Dommage. Chouette expérience en tout cas, dommage que le logement soit si difficile à trouver tout autour, surtout qu’on ne parle pas espagnol!

32,20 km * 2:00:34 * 17,09 km/h

Ensoleillé et température agréable, un peu bouché par moment

Nous quittons Hendaye aprés y avoir mangé près du port. Nous longeons la plage pour prendre ensuite la direction de la Corniche basque. A l’aller on se doute que le paysage est superbe, mais il fait assez nuageux et nous avons même droit à quelques gouttes de pluies.

A notre arrivée à Saint-Jean-de-Luz, nous sommes émerveillés par la beauté des maisons qui se trouvent près de la digue, après avoir quitté les très nombreuses voitures près du centre.

Nous traversons toute la digue, admirant le calme de la mer (dû aux 3 digues construites en début de la baie pour contrer la nature qui a déjà fait de gros dégâts dans cette ville).

Arrivés de l’autre coté de la baie, nous montons dans le parc, ceci à côté du vélo, car ils ne sont visiblement pas les bienvenus.

De là, nous avons une vue splendide sur la ville avec le pyrénées en arriére plan.

Corniche basque
Vue de la corniche basque

Nous empruntons le même chemin pour le retour. Sous le soleil cette fois-ci!

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