35,58 km * 19,62 km/h
Sortie matinale ensoleillée.
Sortie sympa pour s’ouvrir l’appétit avant d’aller manger chez des copains!
29,30 km * 20,59 km/h
Première sortie « du soir » sous un soleil délicieux.
Woaw; il fait superbe, les journées s’allongent et en plus mon capitaine est rentré tôt du boulot! C’est une occasion à ne pas manquer!
Nous partons donc vers 18h30 en direction de la forêt de soignes, il faut 18°. Super agréable!
Comme d’habitude, nous rejoignons le bois de la cambre en passant par Uccle. Il y a relativement peu de voiture, vacances obligent. Ce qui n’empêche les automobilistes de ne pas être très éveillés. Du bois, nous gagnons la forêt, après avoir croisé quelques vététistes enthousiastes! Nous faisons notre parcours habituels « post-boulot », à belle allure. La météo est superbe, ca roule super bien, c’est génial.
Petite pause au Ganzepootvijver
La descente vers les Gansepootvijvers se fait à belle vitesse, car nous n’y croisons personne! Retour par les chemins bien connus et adorés!
Quel bonheur de manger ce rösti bernois après la douche!
87,68 km * 19,89 km/h
Un beau ciel bleu qui se couvre… avant de se dégager à nouveau.
Ce week-end devait être une week-end de tandem, avec remorque, nuit au camping et tout le tremblement… Sauf que ce matin, en prenant la remorque dans la cave, on s’est rendu compte que la roue était bloquée. Après avoir forcé un peu, la roue tournait bien un peu, mais avec une grosse résistance dans le moyeu. Pas la peine de prendre le risque de se retrouver loin de tout avec une roue totalement bloquée ou un roulement cassé.
On change donc nos plans et partons pour la journée direction Leuven. Le départ se fera par la forêt de Soignes en direction de Tervuren, via une route que nous ne connaissons pas (c’était la route prévue pour notre week-end, pour rejoindre Leuven plus vite que par le LF2-6 que nous connaissons bien maintenant). Une fois au Carrefour Léonard, on suit les pancartes « Tervuren pour les vélos ». Le chemin nous mène directement vers l’arborétum que la piste cyclable traverse. Le chemin est descendant et roulant, c’est donc agréable et rapide… Par contre, le temps se couvre vachement. Le ciel au-dessus de nous est tout gris, et nous cache le soleil qui nous réchauffait tout de même agréablement…
On trouve régulièrement des « champignons » indiquant les directions (et kilométrages) en vélo vers différentes villes. Pratique ! Par contre, on finira assez à sortir de trajet à cause d’une déviations temporaire…. Toujours la même histoire ! Enfin, il fait beau, les paysages sont fort sympathiques, et on ne sera pas longtemps « perdu ». On finira sur la N3 direction Leuven. Peut-être pas la piste la plus passionnante, mais elle est royale !
On quittera la N3 peu avant Leuven, pour rejoindre la LF2-6 et rejoindre le campus de la KUL et surtout la cafétaria du centre sportif, où on mangera des penne bolognaises.
Le retour se fera via le LF2-6 que l’on emprunte d’habitude dans l’autre sens… Amusant de découvrir le paysage « à l’envers ». Cela étant dit, les kilomètres s’additionne, et la fatigue commence à se faire sentir. Surtout au niveau du séant qui nous rappelle que le confort de la selle est aussi une question d’entraînement…
Retour à la maison sous le soleil… C’est qu’on finissait par être fatigué…
35,76 km * 20,49 km/h
Un beau soleil, mais qui se couche…
Rien qu’avec le titre de cette sortie, on peut se douter qu’on a changer d’envirronement! Hé oui, après le Lot, direction la mer, et plus précisément l’île de Ré. On trouve un camping ouvert (ils sont rares) et nous installons, pas trop loin du seul bloc sanitaire ouvert, et des seuls autres personnes du camping; des Allemands dans une caravane.
Il a fait beau pendant toute la journée. Pas de chance on était en voiture. Mais bon il n’est que 5h, on se décide donc de profiter du fait d’être sur l’île au vélo, et optons pour un coucher de soleil au phare des baleines. En parlant de phare, on en a qu’un à l’arrière… C’est pas bien ca!
Pas de doute, on est plus dans le lot. L’île est toute plate. Ca nous rapelle nos sorties en Zélande. On voit les clochers des villages à des kilomètres. Assez rapidement d’ailleurs, on devine le fameux phare des baleines!
On roule bien et pourtant on a le vent de face. Ca nous fera rentrer avec le vent dans le dos. On ne va pas se plaindre. L’île est sympa. Les villages comme la Couarde sur mer sont adorablement typiques. Dommage que les voitures fassent des rodéos dans leurs rues étroites. Par contre à d’autres endroits, des cités de vacances modernes, à l’architecture sans charmes, se succèdent. On préfère ne pas voir ca en pleine saison.
Et nous voila au pied du phare. Qui est très joli. En pierre. Tout simplement. Sur la plage, la lumière est superbe. Le soleil va se coucher, et les nuages apparaissent. Ce qui va faire un beau couché de soleil, mais ne présage rien de bon pour demain…
Coucher de soleil au phare des baleines
On profite un peu de la plage et de l’ambiance et nous décidons à entamer le chemin du retour. On trace, vent dans le dos oblige! La température baisse, la nuit sera fraiche sous la tente.
Vollenbak sur l’île de Ré
Le ciel s’embrase, c’est magnifique. Malheureusement, c’est dans notre dos que ca se passe. Alors je dis, vive le tandem et la place de stockeuse! Qui me permet de me retourner à ma guise de crier: « stop! » quand une pause photo s’impose. Comme celle la par exemple!
![[no comment]](/photos/DSC10167.jpg)
[no comment]
On termine dans le quasi noir et dans le froid. 7° à ma montre… Brrrrr. Douche, nouveaux vêtements et resto, et puis un gros dodo!
19,20 km * 13,47 km/h
froid et nuageux, avec de beaux passages ensoleillés.
A quelques kilomètres au nord de Cahors se situe une base VTT. De là partent 5 circuits balisés. Quoi de mieux pour découvrir une région? Nous avons acheté les topos la veille, et après étude des cartes, nous nous décidons pour le parcours numéro 2, catégorisé de facile, mais surtout pas trop long, car nous devons être rentré pour midi.
Nous démarrons sous le soleil, c’est déjà bien! On hésite un peu sur le sens du balisage, mais en fait on a loupé une flèche. Demi-tour et cette fois on ne la loupe pas.
Ca commence avec une chouette descente dans les bois. Puis on se ballade gentillement dans les causses. Il fait beau, c’est très joli.
Les Causses du Quercy
Vient un chouette passage relativement technique, quelques beaux slaloms serrés entre les arbres, surtout du au fait que c’est un peu juste pour le tandem. Mais je fais confiance à mon capitaine, qui fait ca avec brio!
On traverse des petits villages tout mignons, puis vient une montée monstrueuse, qu’on fera entièrement à pied. Ca monte fort, ca glisse et il y a des tas d’obstacles par terre. C’est peut-être manquer de volonté, mais on ne s’obstine pas trop!
Les Causses du Quercy
Après ca on profite de la vue des hauteurs, puis on enchaine avec une chouette descente, dans laquelle il vaut mieux avoir de bons freins et terminons par une belle montée, évidemment!
On est triste de partir demain et de ne pas pouvoir en tester un autre de ces parcours! La prochaine fois!
24,14 km * 17,87 km/h
4 à 8°, neige, pluie et gros vent!
On repart dans la même direction que la veille, en espérant que le temps soit meilleur. Il fait froid, on a troqué le court contre le long.
L’idée est de rallonger jusqu’à Montcuq. On se perd (encore!) et descendons jusqu’au Boulvé. C’était une très belle descente. Mais qui dit descente dit montée! Et quelle montée! Enfin au moins on se réchauffe. Nous regagnons la même nationale qu’hier et voila que des giboulées de neiges nous sapent le moral!!
On est plus trop motivé pour aller jusqu’à Montcuq et préférons rentrer au chaud :-). Et comme la veille, en arrivant, soleil!
19,76 km * 12,50 km/h
12°, couvert
Première sortie et mise en jambe autour de Jouan. Suivant les indications de mon oncle, on quitte les routes pour emprunter des petits sentiers qui sont en train d’être réhabilités. Assez tout-terrain, on s’amuse bien! Pas toujours facile de tout faire en selle!
Quelque part dans le lot
20,52 km * 16,14 km/h
12°, couvert
Seconde sortie sur la journée, après un festin du sud-ouest… Dur dur de pédaler!
Nous prenons la direction de Fargues, et après avoir hésité entre la route et les sentiers, on se lance à l’assaut des sentiers, on rentrera par la route vu qu’il commencera sans doute à faire noir.
Vue depuis Belaye
Malgré le temps tristounet, les paysages sont très beaux. Les sentiers sont dans l’ensemble assez praticables, sauf à quelques endroits où l’on doit descendre de notre monture… avec des témoins, qui ne sont autre que de la famille (en plus!). A mes yeux, nous passons quelques passages très techniques!
Paysages depuis les sentiers
Nous nous perdons un peu et nous retrouvons sur une nationale sans trop savoir où l’on est. On prend la nationale, en allumant le phare à l’arrière, car le temps s’assombrit. Les voitures vont vite, on a le vent de face et il pleut. On essaie d’aller au plus vite, mais la route qu’on doit prendre à droite n’est pas aussi proche que l’on croyait. Et quand on en croise enfin une, ce n’est pas celle qu’on doit prendre mais celle où on pensait être un peu plus tôt!
Vue depuis les hauteurs
Et finalement la voila enfin notre route! On la prend et regagnons Jouan par la route, assez rapidement. En arrivant, la météo s’améliore, bien sur!
Beau temps à l’arrivée
43,51 km * 16,36 km/h
11-14°, soleil
Belle sortie en forêt. Départ via Uccle et le Kauwberg, puis via les lotissements de Rhode. A partir de là, on plonge dans la forêt. Direction : le château de La Hulpe. Du grand classique, matiné d’un peu de nouveauté puisqu’on emprunte l’un ou l’autre chemin inédit pour nous.
Au château, on mange nos sandwichs après avoir manqué de labourer une jolie pelouse et tout en admirant un mignon petit chien. Jamais vu un chien si petit…
En quittant le parc on est un peu moins inspiré en tentant une nouvelle route… qui nous fera passer un long temps à marcher dans un chemin boueux impratiquable…
De retour « à la maison », nettoyage du bike, qui en avait bien besoin. J’en enfin enlevé la plupart des traces de collant qui nous restait d’Ecosse, retendu la chaine de liaison, nettoyé les galets de dérailleur, huilé le cable de dérailleur arrière en espérant améliorer le passage des vitesses qui est récalcitrant depuis maintenant trop longtemps.
Et puis, en nettoyant la roue arrière : le drame ! Je me rend compte que deux rayons sont cassés ! Ce serait peut-être ça le « chtiing ! » qu’on a entendu tout à l’heure ??
33,54 km * 17,42 km/h
Sortie en forêt… rien de particulier à retenir…
Montrez-nous sur Pinterest!
