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Posts by: "Addicted2"

71,11 km – 4:28:35 – 16,49 km/h – max 32,8 km/h

Petit-déj’ à l’hôtel, après un tout petit tour au bout du jardin, au bord de l’eau.

On débute la journée en décidant de couper dans le début de l’étape. Elle est prévue pour un peu plus de 80 km (la plus longue jusqu’à présent) et le temps s’annonce venteux (avec de la pluie l’après-midi). Pour l’instant le ciel est bleu et le soleil brille…

Le trajet commence par un passage sur une grand’route à grand trafic, sans piste cyclable. C’est une longue ligne droite un peu ondulante ; les voitures et camions sont attentifs et prudents et nous doublent là et quand c’est possible, en laissant de l’espace… à l’exception bien sûr de l’un ou l’autre.

Une fois la grand’route quittée, on se retrouve sur une route très étroite, qu’on pourrait croire très peu fréquentée, mais qui se révèle elle aussi assez bien empruntée. Ce sera comme cela toute la journée : les routes seront souvent très étroites (avec aménagement de « passing places »), avec un trafic raisonnable mais non nul.

A Ginst, on fait un arrêt au magasin Edeka pour acheter à manger. On prendra à nouveau des sandwiches garnis chez « Lila », comme hier. Le magasin n’est pas grand, mais le parking ne désemplit pas ; les mouvements sont incessants.

Le trajet prévoit de faire le tour de Ummanz, à laquelle on accède par un pont qui offre de part et autre une vue magnifique sur l’eau. On mangera un premier sandwich au bord de l’eau, en contemplant les kite surfers qui profite du vent bien présent aujourd’hui. L’étendue d’eau n’est pas très profonde : on en voit certain qui marchent dans l’eau.

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Retour sur l’île principale pour continuer. Le vent nous joue des tours. 

Vers 14 heures, il se met à pleuvoir. On s’abrite sous un marronier pour mettre la veste de pluie, puis on attend un peu que le gros de l’averse passe. On repart sous une pluie fine. On se décide pour la route le plus près de la côte. On ne regrettera pas notre choix car, malgré le vent et la pluie qui tombe à nouveau assez fort alors qu’on longe la côte, la vue est magnifique. On pourra voir sur la rive opposée la ville de Strasund qui se détache.

La traversée du pont pour rejoindre le continent se fait elle aussi sous un gros vent.

Cette fois, nous dormiront à la pension « Om Ozeanum », juste en face de… l’ « Ozeanum ». Après la douche, on sort pour un petit tour en ville, puis on mange au resto italien « Bellini » juste à côté de la pension. On emportera le reste de ma pizza, dont je n’ai mangé que la moitié. Je pense que c’est la première fois que je ne termine pas une pizza au restaurant !

Petite promenade digestive en ville, avant de rentrer.

74,96 km – 4:31:46 – 17,06 km/h – max 45,2 km/h

Ce matin, beau temps sur le Schloss Ransow. Petit-déj dans la véranda (tous les occupants de la veille au soir ont changé de place).

Départ pas trop tardif qui nous fait directement escalader quelques bells côtes pour rejoindre le « cap Arkona blick ». Au sommet, sur la grand’route, il y a du monde sur le parking. Mais la belle vue est un peu plus loin, sur le trajet du Oostsee Radweg. Ca tombe bien, puisque nous on y passe !

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Pour le début de journée, le fléchage est un peu léger. Heureusement avec la trace GPS sur l’app Maps.me, impossible de se perdre…

Les chemins se suivent et ne se ressemblent absolument pas. Je me fais d’alleurs la réflexion qu’on a rarement eu un voyage où la surface où l’on roule change tellement de kilomètres en kilomètres.

Pour rejoindre le cap Arkona, on doit emprunter une petite bande de terre pas bien large. La piste pour les vélos est heureusement séparée des voitures, et elle serpente dans une belle forêt. Dommage que les racines soulèvent le tarmac à de nombreux endroits, rendant la progression un peu inconfortable. 

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A l’approche du cap Arkona, il y a de plus en plus de cyclistes, puis de piétons. La vue sur la mer, sur Lhome, et de l’autre côté sur la cap Arkona est superbe. On en profite pour manger sur une petite pelouse aménagée.

Au pied des phares, c’est carrément la foule…

Le chemin n’est pas très large et les gens pas toujours très coopératifs. On ne s’attarde pas. Après quelques kilomètres, le chemin devient remplis de sable mou : un sacré challenge que de progresser sur le vélo.

Au sortir de ce passage, on manger notre deuxième sandwich, après avoir vidé nos chaussures pleines de sable.

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Il nous reste à rejoindre Wittower Fähre pour prendre le bac qui nous fera passer à Vaschvitz où se trouve l’hôtel Lindner.

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Après la douche, Brig file à la piscine et au sauna. De mon côté, je prend ma douche à l’aise avant de sortir faire quelques photos.

On mange le menu buffet à l’hôtel vers 19h30. Petit tour dehors, puis dodo. Demain, une grosse étape nous attend.

64,22 km/h – 4:21:19 – 15,51 km/h – max 48,4 km/h

Réveil à 7h40. Finalement on ne va pas à la piscine avant le petit-déj.

En bas dans la salle, on reprend la même place qu’hier au souper. Le buffet et gigantesque et fort appétissant. Après le trois serivce d’hier soir, je n’ai pas très faim… ce qui ne m’empêche pas de piocher avec bonheur dans le buffet.

Le temps aujourd’hui est à gris, et c’est sous une petite pluie que nous quittons l’hôtel. En partant, on contourne l’hôtel par l’arrière et on passe donc devant notre chambre, dans une des annexes.

D’emblée, on se retrouve dans la forêt, avec vue sur mer. Un peu plus loin, on traverse l’un ou l’autre village aux maisons à toit de chaume, en bord de mer…

A Sellin, on quitte brièvement la piste tracée pour aller voir une construction sur pilotis, suspendue au-dessus de l’eau…

La station balnéaire de Sellin est très touristique. Les maisons et immeubles sont plutôt jolis, dans un style assez particulier avec des terrasses faites de colonnes et rambardes en bois massif, avec pour certaines des décorations finement sculptées.

On achète des sandwich avec de reprendre la route.

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Quelques centaines de mètres plus loin, dans la forêt, on trouve un spot à pic-nic parfait. On est en bordure d’une petite voie de chemin de fer sur laquelle nous avons la chance de voir passer un train à vapeur !

Le temps reste variable, pas vraiment froid, mais avec par moment un vent très frais, et quelques gouttes de pluie…

Après un long passage dans la forêt, on arrive au site du Königsthul, un point de vue sur les impressionnantes falaises de craie (118 mètres de haut).

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De là, on est tout prêt du Schloss Ransow, notre hôtel pour la nuit. On dort dans une annexe moderne, légèrement en contrebas…

On se dépêche d’aller manger avant la fermeture du restaurant, pour pouvoir profiter de la piscine et du sauna.

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Après le dîner, Bri va à la piscine, tandis que je reste dans la chambre…

52,96 km – 3:12:50 – 17,14 km/h – Max 41,2 km/h

Grand bleu ce matin quand nous nous réveillons.

Après un petit-déjeuner royal à l’hôtel (salade de hareng, etc.), nous sortons dans Stralsund pour une petite visite en suivant une promenade proposée par l’hôtel. On découvre des rues charmantes et dépaysantes, le port, l’hôtel de ville à la façade « gothique en brique » exceptionnelle.

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Avant de rentrer à l’hôtel récupérer vélos et bagages, on achètes des sandwich garnis. D’abord deux au maatjes dans un premier magasin, dont la vendeuse est particulièrement antipathique, puis un autre à la dinde, ainsi q’une boule de Berlin et un chausson aux pommes dans une autre boutique dont la vendeuse est parfaitement charmante.

On quitte Stralsund en direction de Rügen par le pont « bas » partagé avec les voitures et les trains. C’est un pont tournant, alors que juste à côté, un haut pont à haubans fait passer l’autoroute.

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Dès l’arrivée sur l’île, on est surpris par la variété des paysages. Il n’y pas beaucoup de dénivelé, mais le terrain ondule gentiment en permanence. Par chance, on a le vent principalement de dos… ce qui nous promet du plaisir sur le trajet retour vers Stralsund, si le vent se maintient…

Le soleil est bien chaud, mais le vent est frais. Les nuages font en sorte que l’on est parfois privé de soleil, et les endroits à l’ombre sont tout de même bien frais. Un vrai temps nordique !

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On arrive au « Badehaus Goor » vers 16h. Après la douche, on profite de l’espace welness : piscine, sauna. On n’y fera qu’un tour. Il est très bien (60°, on transpire vite et bien) mais on se sent rapidement un peu flagada. Inutile d’abuser. Très bon thé à faire soi-même dans l’espace détente.

Pour le souper, on mange à l’hôtel. C’est un formule « buffet » très bonne… mais qui pousse peut-être à manger un peu plus que nécessaire ? 

3,26 km – 0:29:18 – 8,12 km/h – max 18,5 km/h

Il pleut ce matin sur Aix. 

Petit-déjeuner chez Bauwen au bout de la rue. Les serveuses ne sont pas très sympathique, au contraire des clients de passage qui disent tous bonjour à la cantonade. Le petit-déj est très correct, surtout en tenant compte du prix. Quand on quitte la boulangerie, la pluie a cessé.

On prend son temps à l’hôtel avant de partir, puis on va directement à la gare toute proche. On prend un train plus tôt que prévu, ce qui nous offre une marge d’une heure en gare de Cologne pour manger avant de sauter dans le train pour Stralsund de 12h21 dans lequel nos places étaient réservées…

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Il pleuvait ce matin à Aix, mais la pluie s’est arrêtée avant notre départ…

Le trajet se passe sans encombre. On profite du train pour travailler sur un business plan…

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On était dans le dernier wagon…

Il fait nuit lorsqu’on arrive à Stralsund vers 21h. On va directement à l’ « Hotel Zur Post ». Les vélo seront dans le garage pour la nuit.

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Il fait nuit quand nous arrivons à Stralsund…

Une fois installés, on sort pour aller boire un verre à la « Brasserie » juste à côté. On teste les bières locales. L’endroit est sympa, avec un petit air de pub anglais…

53,13 km – 2:52:57 – 18,97 km/h – max 39,9 km/h

Départ par le train de 10h56.

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Bruxelles, gare du Midi.

Il n’y a plus de place pour nos vélos dans le fourgon, nous sommes donc contraint de les mettre sur la plateforme du wagon dans lequel nous montons. Avec deux vélos, c’est un peu gênant : impossible des les caser tous tous les deux sans gêner le passage. On devra donc en permanence se tenir prêts pour les bouger à chaque arrêts.

Surprise à Centrale : on tombe sur Alexandre qui va jouer à Liège avec un ami, dans un duo de Ukulélé. On passe le trajet avec eux.

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A Eupen, c’est parti : on enfourche les vélos ! Après quelques centaines de mètres, il faut régler le frein avant du Source, qui a décidé de coller à la jante.

On monte en direction du lac (Wesertalspere), puis de la Vennbahn. Il fait (super) chaud, mais heureusement on est en sous-bois et donc souvent à l’ombre…

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L’étape prévoyait 35 km, mais en arrivant sur la Vennbahn qui conduit à Aix, on remarque au balisage kilométrique que ce sera un peu plus long. On fera finalement 53 km, mais avec l’impression d’être en descente pendant 30 bornes.

Du coup, on arrive à Aix au NiceRooms.de vers 16h20, soit à peu près l’heure annoncée.

La chambre, avec salle-de-bain et toilettes séparée, est très bien. 

Après la douche, on part en ville pour visiter rapidement. On ne pourra pas entrer au musée Ludwig, déjà fermé, mais on pourra faire des photos de la façade style Bauhaus. La cathédrale sera elle aussi déjà fermée. Sur le chemin, on passe devant les sources chaudes et très odorantes…

Il est temps de trouver où manger. On a tous les deux un sacré coup de pompe. On a faim, mais surtout très soif. On s’installe en terrasse chez Dinette pour une flammkuche plutôt légère mais qui est tout à fait ce qu’il nous faut. En boisson : jus de pamplemousse et eau pétillante.

Retour à l’hôtel et dodo !

56,75km – 3:38:05 – 16,62km/h

Réveillées vers 7h30, nous voulions prendre le petit déjeuner à Heimbach. On pensait que ce serait possible, mais en fait pas vraiment… On opte donc pour 3 couques et un ChocoMilk consommé dans le parc le long de la Ruhr.

On entame la route et sommes étonnés de la montée qui nous attends rapidement. Nous découvrons par la même occasion un tout nouveau village de vacances avec des bâtiments style « à colombages ». L’ensemble, énorme, est plutôt laid dans cette environnement naturel.

Nous avions prévu de faire le tour du Rursee par le haut (ou le nord), mais finalement on fait comme d’habitude. Le chemin est toujours aussi sympa mais nous n’avions pas souvenir de quelque chose d’aussi vallonné. Au barrage, on se décide pour la route direction Simmerath. On commence une longue ascension régulière (moyenne de 7,2% tout de même) et arrivons lentement mais sûrement au sommet.

Nous assistons à une défilé de motards sur la route tandis que nous longeons un bon nombre de stelles placées à la mémoire d’accidentés de la route le long de la piste cyclable… A Simmerath, nous prenons la direction de la Vehnbahn sur une route assez grosse bien fréquentée, mais à nouveau dotée d’une belle piste. Le bonheur est total lorsque nous la quittons et commençons à rouler sur la Vehnbahn! Les paysages sont en plus très beaux. On aimerait revenir avec les vélos de course…

On dégringole jusque Raeren et suivons ensuite les panneaux indicatifs vers Eupen. Nous arrivons à la gare à 13h40 ce qui nous permet de prendre le train de 14h17 direction Bruxelles!

82,75km – 5:12;46 – 16,32km/h

Nous nous réveillons vers 7h après une bonne nuit pour ma part, très fraîche. Nous nous sommes décidés à tester une autre boulangerie en y prenant notre petit déjeuner avant de partir. Nous remballons rapidement notre matériel et partons déjeuner chez Jürgen Schmitz. Couque aux noix pour Michel et sorte de couque suisse pour moi. En prime, nous nous partageons une sorte de palmier recouvert de sucre glace et aux bords chocolatés.

Nous quittons Ahrweiler sous un soleil magnifique vers 8h40. Il fait encore frais, mais on sent que la journée va être chaude! Nous avions déjà fait le trajet dans l’autre sens et les souvenirs nous reviennent rapidement. Départ dans les vignes, le monastère en hauteur, on longe ensuite la voie de chemin de fer en passant par deux courts tunnels. Nous effectuons un arrêt à Dernau pour trouver un Edeka afin d’acheter des nouilles, mais c’est un tout petit magasin qui ne propose pas ce genre de produits. Décidément pas facile à trouver ces nouilles!

Nous continuons le long de la route de l’air et c’est magnifique. Au loin on peut entendre la route et les motards, mais au moins on ne les voit pas. Une fois à Schuld nous quittons l’air pour entamer la montée vers Bad Munstereifel. C’est une route importante mais la piste cyclable est agréable et bien séparée du traffic omniprésent.

A Bad Munstereifel, nous ne faisons pas de tourisme — bien que ce village soit magnifique — et continuons la route, une montée sur une route fréquentée et surtout quelques imbéciles au volant! Jusque Mechernich, nous sommes sur cette route sans piste cyclable. 

A l’entrée de Mechernich, nous nous arrêtons au Netto car nous n’avons plus rien à boire. C’est un peu le défilé des ronnys; Michel manque de finir sous une BMW dont le conducteur ne trouve rien de mieux que de se garer devant la porte du magasin alors qu’il y a quatre voitures dans le parking.

Nous continuons ensuite sur des routes plus calmes et passons par le charmant village d’Hostel. Juste avant d’y arriver, nous mangeons à quelques mètres du banc où nous avions fait notre pause trois ans auparavant.

Nous nous retrouvons ensuite à une carrefour que nous aimons beaucoup avant d’entamer assez rapidement la folle descente vers Heimbach. Descente rendue un peu moins folle par un couple en vélos électriques visiblement peu à leur aise sur leur monture…

Arrivée au camping à 17h, nous nous plaçons à côté de deux cyclistes vraisemblablement hollandaises et sommes bientôt rejoint par deux belges aussi à vélo et un randonneur allemand. 

Souper au Eifeler Hof (Kalbschnitzel avec salade et salade de pomme de terre pour Bri, blanc de poulet grillé, salade et frites pour Mi). Nous rentrons au camping et après un petit shooting tente illuminée, allons nous coucher.

Lever assez tôt sous le beau temps. Nous partons petit-déjeuner là où nous avions mangé un craquelin lors de notre dernier passage à Ahrweiler. On repasse rapidement au camping puis partons pour Bad Neuenahr pour aller aux thermes… en passant par les vignobles (et donc les hauteurs) d’abord. La balade nous offre de belles vues sur les vignes, la ville et les alentours. Par moment il tombe quelques gouttes.

Arrivés en ville, on a vraiment faim! Après des hésitations, on se décide pour une boulangerie Kamps, qui fait des sandwiches garnis. On préfère privilégier du léger avant les thermes! Au moment où nous quittons l’établissement, il se met à pleuvoir sérieusement! Aux thermes, on peut bénéficier de l’offre « September Spezial » qui donne aussi accès aux saunas. On y reste tout l’après-midi en profitant bien des installations! Le soir, on mange à la « Neunahrer Brauhaus » établissement typique, offrant de la nourriture typique. Sympa!

On rentre au camping par la grand-route dans l’espoir de trouver une magasin où faire des courses pour le lendemain. Sans succès, le REWE to go situé à côté d’une station essence ne nous propose rien qui puisse nous servir de lunch! Tant pis, ce sera pour demain!

Nous arrivons à Ahrweiler où la fête du vin bat encore son plein. Bière, vin, musique… les gens ont l’air de bien s’amuser! Retour au camping et dodo.

78,10km – 4:30:13 – 17,74km/h

La pluie tombe toujours à l’heure du lever. Brigitte va chercher à la supérette les croissants commandés la veille. On les mange dans l’espace couvert des sanitaires. Le pluie cesse et on peut plier la tente et partir au sec. La journée restera finalement principalement sèche, avec quelques gouttes par-ci par-là.

Nous partons ne suivant le Rhin. D’abord sur la rive gauche, puis sur la droite peu avant d’arriver à Bonn. Après Bonn, les abords du Rhin deviennent plus jolis: des collines proches, parfois garnies de tour ou de château…

A Remagen, on s’arrête en terrasse pour un café et une gaufre de Bruxelles. Faites maison sûrement et donc pas vraiment comme à Bruxelles!

Un peu plus loin, nous quittons le Rhin pour suivre l’Ahr, itinéraire cyclable qui nous fera remonter vers Ahrweiler. Nous avons déjà emprunté cette route lors de notre voyage « au fil de l’eau » il y a quelques années, mais dans l’autre sens. Une fois arrivés à Bad Neuenahr, nous avons d’abord pensé loger à l’hotel, pour être plus proches des Thermes. Mais finalement, ne trouvons rien de très excitant, on se décide à retourner au camping d’Ahrweiler. Nous arrivons à 17h pile! Tout juste avant la fermeture de la réception!

On s’installe au fond, dans l’espace tente. L’été a du être sec ici aussi; il n’y a pratiquement plus d’herbe contrairement à la fois précédente où cette dernière était moelleuse… On monte le camp et on part manger en ville (sans s’être douché car pas de monnaie). Après un petit tour dans l’ancienne ville fortifiée – toujours aussi agréable – nous nous décidons pour un resto à l’aspect rétro et authentique « Niederhutklause ». On y passe une bonne soirée.

De retour au camping, Brigitte va se doucher (grâce aux pièces d’1€ récupérées au restaurant). Je n’en ai plus le courage… mais le regretterai le lendemain!

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