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103,83 km – 6:28:11 – 16,05 km/h

Bonne nuit au camping, malgré les passages de trains qui klaxonnent bruyamment. Notre emplacement est à l’extrémité du camping, qui lui-même jouxte la voie de chemin de fer et son passage à niveau…

On se lèvre assez tôt et on déjeune avec des Bel-vita et du thé. Démarrage vers 9h20.

Le début du parcours, qui aurait pu être notre fin de parcours hier soir, se révèle vite très pentu. On roule sur des chemins en gravier, en forêt, à l’abri du soleil qui donne déjà beaucoup.

Une ferme croisée sur le cheminUne ferme croisée sur le chemin

Les chemins sont déserts, on a le paysage pour nous tout seuls !
Enfin, on croise tout de même pas mal de voyageurs à vélo. Beaucoup de personnes plus âgées, mais quelques couples de notre âge aussi.

Quel calmeQuel calme… »

Avant d’arriver au Tegersee, on traverse une forêt qui présente un joli dénivelé.

Joli passage en forêtJoli passage en forêt

Le Tegernsee est joli. Mais quel circulation !
Brig va acheter des pâtisseries pour compléter notre déjeuner, avec en prime une petite douceur qu’on gardera pour le quatre heures.

Le Bo-Ko longe un moment le lac, avec de le quitter sur la droite. Un embranchement qu’on a manqué, occupés qu’on était à contourner le gros camion qui était garé sur la piste cyclable précisément à la bifurcation. Heureusement que Brig a le sens de l’orientation et qu’elle avait la carte en tête.

Le Bo-Ko monte donc, vraiment fort même, à travers un parcours de golf. La vue, une fois arrivé au sommet est magnifique.

Les chemins s'enchaînent et offrent de très beaux paysagesLes chemins s’enchaînent et offrent de très beaux paysages

Les passages de « gravel » s’enchaînent, parfois assez techniques, voir même piégeux. A un moment, je suis à deux doigts de me mettre au tas dans une descente où le gravier devient soudain profond et mou.

Une grange dans les pâturesUne grange dans les pâtures

Dans un villageDans un village

Au moment de manger le quatre heures, il se met à pleuvoir. Une famille de cyclistes s’arrête en catastrophe à hauteur du banc sur lequel nous sommes installés pour enfiler leurs K-way. Il n’en est pas question pour nous : il fait tellement chaud !

Avec la pluie, la température chute d’environ dix degrés. Il fait maintenant vingt-deux degrés, ce qui devient plus supportable.

La pluie est légèreLa pluie est légère

On quitte le Bo-Ko à Eschenlohe pour rejoindre Garmish-Partenkirchen où nous passeront les deux prochaines nuits. Le chemin monte légèrement dans la vallée. On doit passer des « cattle-grid » et passer des barrières à bétail… Un beau petit goût d’aventure et une bien belle façon d’arriver « en ville ».

La remontée de la vallée vers Garmish-PartenkirchenLa remontée de la vallée vers Garmish-Partenkirchen

L’hôtel est à Garmisch, mais un peu à l’écart du centre ville, sur la grand’route. Il est un peu daté et vaguement kitsch, mais ça fait précisément partie du charme de ces petits hôtel familiaux. Et puis il y a une foule de petites attentions qui ne me laissent pas insensible : le petit canard qui garni le tapis de douche, le nécessaire à couture accroché au mur, etc.

On s’installe, et on profite de la possibilité de faire laver notre linge pour rafraichir notre garde-robe.

Ensuite on sort manger en ville au Mukkefuck, un restaurant de cuisine locale. Un régal. On fait un petit tout dans Garmisch, très calme, avant de rentrer nous coucher.

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