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65,53 km * 14,31 km/h

Superbe temps le matin, va se couvrir un peu l’après-midi.

C’est donc aujourd’hui que les choses sérieuses commencent! Nous avons retrouvé Ben et Eric, 2 cyclistes d’Edinbourgh, avec qui on comptait faire une partie du voyage. On se met en route tous les 4 en quête d’un petit dej, mais visiblement Inverness le dimanche matin n’est pas trop propice au petit déjeuné improvisé. Le Tesco n’ouvre qu’à 9h… On retourne pour tout replier au camping, on mange quelques trekking biscuits et une banane et nous mettons en route, tandis qu’eux retourne au centre et déciderons finalement de partir vers Skye.

Nous entamons la première étape de la « Great Glen Cycle Route » et dès les premiers kilomètres, nous sommes déjà très heureux d’avoir acheter la carte de la route car le flèchage est tout à fait inexistant. Nous suivons la A82 sur quelques kilomètres puis bifurquons vers Blackfold, sur une route beaucoup plus petite. Et la on comprend le « high » du mot Highlands. Ca monte bien et très vite, cette route nous offre un superbe point de vue. Arrêt photos et repos en même temps – quel merveilleux alibi la photo quand même! Ca monte encore, et encore et encore et puis on se retrouve devant une montée monstrueuse. On met pied à terre et on pousse. Et la aussi c’est dur.

Pas faché de sortir de la forêt (car on sait que la ca ne montera plus), nous somme éblouis par la beauté du paysage. La lumière est fantastique et nous sommes en plein tableau. Ca valait la peine de la montée.

Easter Altourie
Easter Altourie

Voila qui est motivant. Ensuite, en plus la route est quasiment plate et bientot nous pouvons même entamer une descente à vive allure. Ca fait du bien! Les paysages se succèdent mais ne se ressemblent pas. Les landes suivent la forêt pour laisser leur place à des paysages plus campagnards. Nous arrivons à midi à Drumnadrochit ou nous mangeons après avoir posé pour une photo (c’est ca la célébrité!!) et reprenons la route en direction de Invermoriston.

On recommence de façon assez directe avec une montée incroyable (sur la carte, 15 courbes de niveaux de 15 mètres de dénivelée chacune sur environ 1km), à nouveau on met pied à terre et on pousse… Voila que pour la seconde fois aujourd’hui notre parcours est rejoint par celui des marcheurs. C’est à ce moment la que nous voyons – enfin – le Loch Ness! Pas de trace de Nessie… 😉

Le Loch Ness!
Le Loch Ness!

Nous empruntons ensuite un chemin fermé à la circulation qui est très sympa, qui ondulent bien évident, mais qui est aussi beaucoup plus technique vtt. Après quelques kilomètres, l’éblouissement est total. Nous roulons sur un chemin très étroit, que je juge un peu casse-patte, même si la dextérité de mon cap est merveilleuse, et nous avons une superbe vue sur le great glen. Le nuages sont la mais le soleil aussi. Et c’est à couper le souffle.

Le Great Glen... superbe!
Le Great Glen… superbe!

Le chemin devient plus large et personellement je le trouve plus confortable ;-). La dénivellée est toujours très costaude mais on se rassure par le fait que cette partie est connue comme étant la plus dure physiquement.

A Alltsigh on reprend la A82 pour rejoindre notre camping situé un peu après Invermoriston, à Rubha Bàn pour être précis, sur le loch ness. Notre emplacement est superbe. On dine avec un plat en poudre, qui se laisse manger, puis allons gouter aux bières locales, une Tennent, puis après 2 parties de snooker, nous regagnons nos matelas et sacs.

19,56 km * 14,89 km/h

Beau temps, comme pour bien commencer!

Haa ca faisait un bail qu’on en parlait et qu’on le préparait ce fameux voyage en Ecosse, mais ca y est on y est!

Levés à 3h30 du matin, on cloture les bagages et descendons attendre le taxi-camionette dans le hall pour 4h45. Nous voila donc avec notre sac BOB, qui contient le matos de camping, le sac ortlieb avec nos vêtements et nourriture en poudre et deux cartons, un petit avec la remorque et un plus grand avec le tandem qui a été soigneusement démonté et mis en boite par mon capitaine préféré.

La camionette est la à l’heure. Etonnament et contrairement à ce qu’on avait demandé lors de la réservation, elle n’a que 2 places, du coup Mi se retrouve sur un tabouret, à devoir s’acrrocher comme il peut où il peut car la conduite de monsieur, est particulière. En 45 minutes nous arrivons à Zaventem… Ouf… (no comment)

On se met dans la file chez BMI, et arrivés à notre tour, le gars nous fait oublié toute les craintes qu’on a eu par rapport au transport du tandem. On enregistre tout ça et quelques minutes après, 2 gars de chez Aviapartner viennent chercher nos caisses. On est un peu rassurés.

On zone un peu dans l’aérport et il est déjà l’heure de l’embarquement, direction Londres. Arrivés là-bas et après quasi une heure d’attente pour repasser une porte de sécurité, on se retrouve devant notre prochain avion qui nous amènera à Inverness. Plus petit, on embarque direct depuis le tarmac. Et qui voit-on arriver sur un chariot? Notre bébé et sa remorque. Haa nous voila encore plus rassurés.

La météo à Londres n’est vraiment pas bonne. Et une fois à Inverness, on se rend compte que ce n’est pas le cas. Nous atterissons sous un merveilleux soleil. Nos bagages arrivent premier, et voici notre gros carton qui nous est amené. Il n’a pas l’air d’avoir trop souffert, il s’est un peu abimé au niveau de la fourche mais en gros ca va. Bon maintenant il faut tout remonter! Après une bonne heure, le montage du tandem et de la remorque sont effectués. A nous les Highlands!

On aurait espérer une route moins fréquentée (ne vous fiez pas à l’apparence trompeuse de la photo qui suit), car la A96 n’est pas exactement calme. Heureusement la distance est courte et nous arrivons rapidement à Inverness, après nous être arrêté à une station essence pour y regonfler nos pneus.

Entre l'aéroport et Inverness
Entre l’aéroport et Inverness

On chercher de quoi manger, une family pack de salades diverses de pâtes et autres fera l’affaire et sera rapidement englouti le long de la River Ness. Nous passons devant le chateau et rejoignons notre camping. Installation de la tente, puis nous ressortons le soir pour aller manger et découvrir un peu la ville. Mon capitaine, dont tout le monde connait le côté téméraire, opte dès la première opportunité pour un Haggis, Tatties and Neeps, la grande spécialité locale. Même si la présentation (2 boules « à glace » de chacun des 3), tout comme la déco du resto, est assez surprenante, on mange bien et s’est très copieux. Surement très bien pour ce qui nous attend demain!

Vu que la journée commence à être très longue pour nous, nous regagnons notre tente vers 21h (heure locale) et nous endormons comme des bébés.

27,93 km * 20,37 km/h

Couvert avec de temps en temps une percée de soleil!

Sortie speed en FDS avant un bbq. Notre parcours rapide habituel sur lequel on s’éclate bien!

35,40 km * 18,72 km/h

Il fait beau!

Belle sortie en FDS même si pas la grande forme. Il fait beau et bon, la forêt est belle… super quoi!

45,02 km * 18,56 km/h

Couvert et quasi sec.

La journée qui nous attend est 100% connue. Mais ce coup ci on n’ira pas jusqu’à Halle, on coupera une fois arrivé à Gaasbeek pour rejoindre Anderlecht. Matons donc au petit dej. Costaud les matons! Avec un j’ai trop et mon capitaine s’en mange 2…

Routine: on replie et attache tout et on repart. On descend on monte on descend.. Puis voila qu’on se retrouve sur une rando de motards. Ca va ils roulent tous cool et ca ne dure pas trop longtemps. La météo n’est toujours pas très réjouissante, et nous ne faisons pas beaucoup d’arrêt photos. On trace. On a envie de rentrer. On se dit qu’on aura surement du soleil pour notre arrivée. Et c’est le cas. Une fois le tandem arrêté en bas de chez nous, nous voyons les premiers rayons de soleil de la journée…

75,30 km * 17,80 km/h

Pluie de 12 à 16h.

Finalement heureusement qu’on a pas des donc de voyants pour prédire le temps, car ce jour la on ne serait peut-être pas partis! 😉 Départ du B&B après un copieux petit déjeuner, en reliant les noodpunten, trajet que l’on avait pu réaliser la veille grâce à la carte qui se trouvait dans notre chambre. C’est vraiment un super moyen pour se créer des itinéraires sympas. A nouveau on loupera une flèche, mais on s’en rendra vite compte. On traverse l’étang De gavers, mais ce n’est pas celui de Geraardsbergen (notre destination finale) mais celui d’Harelbeke. Et puis nous rejoignons notre LF6 fétiche. Direction Kluisbergen. Ce nom me paraissait familier mais pourquoi donc? Je vais le savoir dans quelques kilomètres… On croise un magasin molécule ou j’achète 2 sandwiches qu’on garde pour plus tard. Et voici qu’on approche de Kluisbergen, ou j’avais vu le seul et unique camping de la région, le camping panorama. Evidemment passer la nuit de la veille la aurait été difficile, cela aurait rajouté une bonne 30aine de kilomètres à notre route déjà longue. Mais pourquoi ce camping s’appele-t’il Panorama? On tourne un coin et OUCH! Nous voila au pied d’un mur. Un panneau sur notre droite nous annonce: Kluisbergen – montée sur 1100km * 11%. Haaaaaaaaaa oui! Bon allez on se motive la, pas question de mettre pied à terre, on arrivera en haut même si on fait du 5km/h! Et on y arrive effectivement, lentement mais surement. Un petit plateau pour se remettre de la première partie, la plus dure je pense et on entame la suivante. Arrivée au sommet, même pas un petit point de vue à se mettre sous les yeux… Une carte un parking désert et une sorte de totem. Et la pluie qui commence aussi. On mange à l’abri des arbres. Et reprenons notre souffle aussi.

Kluisberg
Kluisberg…

On se demande si on attend que la pluie passe ou non. Et puis on se dit que non. Et on s’attaque à la descente, qui n’est pas immédiate non plus, on remonte un peu, puis du plat et puis ho un point de vue! Ha ben on ne voit pas grand chose avec cette purée de pois… Sur le banc en face de la vue on peut lire: « Daar aan de overkant, het weidse waalse land »…

Le Pays wallon somptueux
Le Pays wallon somptueux, sous le soleil surement!

Et puis on l’a enfin notre descente – quasi aux enfers – route mouillée, il pleut encore, en 2 minutes on a les chaussures trempées. Arrivés en bas, je demande à essorer ma chaussette droite. Hmmmm….

Ensuite nous roulons gaiement sous la pluie, bah finalement c’est pas si terrible que ca… et bientot nous arrivons en terrain connu! Partie du LF6 que nous avons déjà parcouru quelques semaines plus tot! Tout est beaucoup moins joli d’ailleurs… Je fais une halte sous un arbre pour y manger la fin de mon sandwich. Je sens que mon capitaine a un petit coup au moral. Viens alors un fermier qui rentre dans son bois qui se trouve derrière nous qui dis que le temps n’est pas terrible… Non ca on ne peut pas dire. Les autres phrases qu’il nous adressera me furent incompréhensibles malheureusement… nous répondons donc d’un sourire benêt…

On passe De Gavers, l’autre, celui de Geraardsbergen, puis nous arrêtons dans un petit magasin ou j’achète 3 matons, 3 bananes et un coca. Les matons c’est pour le lendemain matin ou pour le soir si on ne trouve rien. Car au camping de Galmaarden, on est pas sur du tout de trouver à manger. De la on sait ce qui nous attends, le bosberg, mais bon franchement après le Kluisberg c’est vraiment facile, je dis pas qu’on monte à du 20, mais ca nous parait vite passé. Et nous voici au camping, donc l’ambiance est aussi tout autre. Il pleut toujours, ca n’a pas arrêté depuis midi. On profite d’un accalmie pour monter la tente, qui finalement n’est pas vraiment mouillée à l’intérieur. Le temps de tout monter et il repleut plus fort.

Douche chaude et puis petite sieste/radio. Puis vient la problématique du souper. Pas question de redescendre à Geraardsbergen. Je vais voir si le café devant le camping est ouvert. Je vois quelqu’un dedans mais ca ne me parait pas ouvert, je vais voir à la buvette du camping et il n’y a pas grande activité. Je retourne au café et la lumière est éteinte. Je pense devoir retourner penaude chez mon capitaine, quand la gérante du camping vient à notre secours et, surement par pitié, nous propose des stoofvlees met friet. « Ja graag!! ». Tout heureux d’avoir ca, on dévorre notre plat seuls dans cette grande salle absolument muette aujourd’hui. Puis après avoir remercié notre cuisinière, regagnons notre tente pour une repos bien mérité.

97,93 km * 18,42 km/h

Couvert mais sec, petit vent.

La nuit fut fraiche, mais bien au chaud dans nos sacs elle fut très reposante. On est donc prêts à affronter notre longue journée! Il pleut encore mais je me décide à aller à la douche. En revenant, la pluie a cesser, il faut y aller! Mi part se doucher, je commence à ranger les affaires, on essaie de secher un max la tente et on replie tout. Ce soir, n’ayant pas trouvé de camping dans la région de Kortrijk, ce sera B&B…

Petit déjeuné sur la plage, assez tardif vu la queue à la boulangerie! Ben oui c’est dimanche! Et on est reparti. Il ne pleut pas, mais la ciel est tout gris tout triste. On a bon espoir que ca va changer! Nous traversons Veurne, toujours aussi sympa, une petite hésitation, il manque un panneau, on se trompe, demi-tour et on retombe sur le panneau suivant. On commence à avoir le feeling LF, et on sait assez vite dire quand on s’est trompé! Petit passage sympa le long d’un canal avec beaucoup de cyclos dont un criera « hé, een tandem met een karretje!!! ». Tja… 🙂

oudekapelle
Oudekapelle

Notre objectif est de manger à Ieper ce midi. Ce qui représente la moitié de notre trajet. Jusque la on est encore beaucoup dans les campagnes, le long d’un canal ou l’on croisera les participants d’un run&bike. Le long du canal, c’est vite lassant, tout plat, à pédaler de facon constante. Heureusement ce n’est pas trop long et nous voila à ieper. Avec déjà plus de 40km au compteur. On mangera sur la grand place. Très jolie, malheureusement, il y a justement la foire. Et pour la première fois depuis notre départ on va bien manger. On ne s’attarde pas trop, sachant que notre route est encore longue. Nous avons rendez-vous à 18h chez nos hôtes. Passé Ieper nous devons rejoindre le LF6a. Une fois celui-ci rejoint, c’est à nouveau le long de l’eau, la Leie. Et la pour le coup c’est long, jusque’à Kortrijk. Mais bon faut ce qu’il faut, donc on pédale. En plus on ne s’arrête meme pas pour prendre des photos tellement le ciel est gris et la lumière est plate. Arrivés à Kortrijk, voila qu’on nous fait sortir du chemin de halage. Ce qui nous fera préférer la nationale pour rejoindre le B&B.. pas un très beau choix, mais le plus court. Il nous faut encore bien 10km pour rejoindre le B&B (qui entre parenthèse est superbe) et on devra même se remettre en selle le soir pour aller au resto. Mais très bien conseillés par nos hôtes, nous y mangerons une étonnante tomate crevettes, alliant crustacés, légumes et fruits!

Nous rentrons à la tombé de la nuit et nous couchons immédiatement.

70,73 km * 18,72 km/h

Variable, soleil et averses.

Le temps file, nous voici déjà à notre second long week-end de l’été en tandem. De l’été, je vais le dire parce qu’on est en aout, car la météo de ces derniers jours laisserait à prouver qu’on ne connaitra pas la canicule du week-end de fête nationale…

Notre train part de la gare de Bruxelles-Midi à 6h41, lever tôt donc, affaires préparées la veille, on déjeunera dans le train pour perdre un minimum de temps et voila que nous sortons tout sur le trottoir, et qu’il se met à pleuvoir! Bah…. En selle, tout phares allumés, nous dégringolons vers la gare, et arrivons en moins de 3km sans avoir pédalé ou presque! On achète les couques, le train arrive, nous allons voir le contrôleur, pas de problème pour mettre le tandem dans le train! On embarde tout ca, la remorque également et nous installons. Dans 1h30 nous serons à Poperinge. De la nous rejoindrons De Panne, en équilibre entre la France et la Belgique!

Le trajet se passe calmement, il y a même du soleil quand nous sommes presque arrivés! Voila qui nous remonte le moral! Et nous voici à destinations. Nous descendons du train et voila qu’il se met à pleuvoir à immenses gouttes! En 3 secondes nous sommes trempés, tout comme les parents venus dire au revoir à leurs enfants dans le trian voisins… Nous retrouvons TTTim et la BOB, et après 3 minutes il ne pleut plus… Quel accueil! Enfin tout cela n’est pas bien grave!

Nous nous mettons en route dans la ville et guettons les panneaux de LF6. Très rapidement nous tombons sur un. LF6a, nous devons suivre le B donc faisons demitour. Nous traversons donc Poperinge en route vers le nord, vers la mer et peut-être le soleil?? Se succèdent alors des campagnes avec des petites routes étroites où il n’est pas toujours facile de faire demi-tour avec un tandem+remorque sans tomber… (hum hum). 🙂

Splendide lumière
Splendide lumière

Si le temps est moyennement convainquant, la lumière quand à elle est magnifique. Ciel tourmenté oblige, les couleurs sont chaudes et denses, ces paysages de campagne prennent une allure extraordinaire.

reflet dans les flaques
Reflet dans les flaques

Nous sommes donc vraiment à cheval sur la frontière Française et nous arrêterons en France pour manger un croque à 2 euros. Pas cher… mais ca ne nourrit pas son cycliste ca. On se dit donc qu’on mangera plus tard de façon plus conséquente. Nous continuons notre route, et passons au milieu de dunes superbes. Bientot nous arrivons à Adinkerke, et nous y découvrons un côté que je ne lui aurait pas soupçonné: un supermarché sur rue de clopes et alcohol… pas très glamour tout ca.

Nous sommes maintenant sur le LF512 qui n’a de LF que le nom et en tout cas pas la signalétique, ce qui nous vaudra de nous perdre car je pense que le passage sur la grand route/supermarché d’Adinkerke n’était pas au programme!

De la on retombera sur le LF1 puis finalement on ira au pif du capitaine, qui connait bien De Panne et qui nous amène sur la digue de façon magistrale! Malheureusement sur la digue comme ailleurs il n’y a pas de soleil… On regarde la mer puis on se décide à manger quand meme, il est 14h et le croque est déjà loin… Pas facile de trouver à manger! Les snacks et restos sont très nombreux mais à des prix incroyables! On préfère aller plus au centre, vers la friterie de la place mais elle est fermée. On finira donc dans un resto, pour manger des carbonaras. Je prends une petite portion, Michel une normale. A part le prix on ne voit pas la différence. Ces pâtes pour lesquelles on a attendu très longtemps sont vraiment mauvaises, aucun gout et baignant dans de la crème. Mais bon faut bien manger.

La pluie ayant cessé depuis quelques temps, on se dit qu’il serait temps de rejoindre le camping et d’y installer le campement pour la nuit. Et on fait bien! Car le temps de s’inscrire, de déballer nos affaires et de monter la tente, des grosses gouttes se mettent à tomber! On jette matelas et sacs dans la tente et nous y jettons ensuite et c’est la drache! Ce qu’on ne sait pas encore c’est qu’elle va durer jusqu’au lendemain matin et qu’on reviendra trempés jusque’à l’os de notre souper… :-))) Sinon la nuit fut bonne… meilleure que celle de nos voisins « trempés mouillés »…

29,67 km * 18,85 km/h

Couvert mais agréable.

Super sortie, courte mais speed et intense en forêt de Soignes. Départ difficile pour ma part, j’ai toujours du mal à décoller après le boulot. Mais elle fait partie de celles qu’on ne regrette pas! Passages de la Nero route, descente super rapide vers les ganzepootvijvers… on s’éclate! Et on passe les 6000km!

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