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Destination choisie "Bruxelles"

68,50 km * 16,60 km/h

Soleil à nouveau!

Après une nuit peu reposante à cause des trombes d’eau qui ont joués du tam tam sur la toile de notre tente, nous avons un peu de mal à émerger à une heure décente! On déjeune comme la veille (c’est le mieux qu’on ai trouvé jusqu’à présent – c’est bon et ca « tient au corps »). Il fait doux et le ciel est bleu : tout s’annonce à merveille.

A la sortie du lotissement où se cache littéralement le camping, on doit emprunter une nationale. Objectif : traverser la Dijle (puis la ligne de train). Le trafic est assez intense et ce n’est pas des plus agréable. Heureusement, on peut vite s’écarter vers l’ancien tracé de la route, qui enjambe la Dijle via une passerelle désormais inaccessible aux voitures (bel ouvrage d’art métallique de la fin du 19e siècle.
De là on remarque des marquages fietsnetwerk que l’on décide de suivre. Un peu plus long que la nationale, mais tellement plus agréable, entre campagne et lotissement tout calme. Les indications sont très pratiques, même s’il ne faut pas être trop anxieux et qu’une carte est souvent la bienvenue. Mais en règle générale, pas de flèche = tout droit. Et pour le reste, se perdre un peu quand on est en vacances, quoi de plus agréable ?

Déjeuner à Haacht. On suit les « champignons » du fietsnetwerk ; on longe la voie ferrée, se retrouve le long du canal de la Dijle. Dîner devant l’académie de Kortenberg. Les anciennes demeure qui longent notre parcours témoignent d’un passé glorieux…
On rejoint Everberg en passant par des bois (un peu de TT malgré nos pneus « route », soyons fou !), puis Tervuren et l’arboretum.

Pas loin d'Everberg
Pas loin d’Everberg

Petit stop dans une Taverne à Jezus-Eik avant de se replonger dans la forêt de Soignes pour un retour qui s’apparenterait presque à une de nos sorties habituelles. Et nous voilà à la maison

66,61 km * 17,10 km/h

Soleil toute la journée!

On trainaille une peu dans nos sacs, puis nous décidons à nous mettre en route. Porridge de trekking comme petit déjeuner, pour avoir des forces pendant toute la journée et on se met en selle.

Nous voulons rejoindre Averbode et ce via une réserve naturelle. Le choix semble bons, car c’est vraiment très beau. Un petit crochet par l’abbaye, que je trouve assez décevante, puis après avoir noté quelques knooppunten nous partons à la découverte de la campine limbourgeoise et anversoise, histoire de rallonger un peu notre étape qui nous parait très courte. Les environs d’Averbode sont très chouettes, comme un avant gout de forêt noire!

Autour d'Averbode
Autour d’Averbode

On croise bien évidemment plein de vélos, on est tout de même « in fietsparadijs ». Après une trentaine de kilomètre on se rend compte qu’on a été un peu gourmand avec les knooppunten et décidons de faire au plus court pour rejoindre Keerbergen, qui n’était qu’à une trentaine de kilomètres de notre point de départ, si nous n’avions pas allongé l’affaire!

Autour d'Averbode 2
Autour d’Averbode 2

Le reste du parcours est sympa, nous passons dans de très chouettes quartiers avoisinants Tremelo. Nous arrivons vers 17h00 au camping après avoir tourné tout atour sans en trouver l’entrée, nous installons sur un emplacement royal et allons manger un bout dans l’établissement situé à côté du camping. Petite ballade parmis les biches et les poules avant de rejoindre nos sacs.

78,38 km * 17,72 km/h

On part sous la pluie, on arrive sous le soleil!

On ne se lève pas très tôt, les bagages ne sont pas faits, on annonce du mauvais et effectivement il ne fait pas beau, mais bon on l’attend depuis longtemps ce long week-end, on va pas se dégonfler quand même! Nous mettons les voiles vers 11h00, et une fois tout sorti sur le trottoir, il se met à pleuvoir! Ca ne nous arrête pas!

Nous nous dirigeons vers la forêt de soignes, qui est déserte et un peu tristoune! On avance pas on se sent fatigué et pensons au 65km qui nous reste à faire…

Petite pause lunch à Overijse, un délicieux poulet au noix de cajou mangé sur un banc. Dans un petit moment de fatigue on envisage de rentrer. Et puis non. On traverse l’arboretum de Tervueren, et puis à la sortie nous suivons les panneaux indicateurs pour nous amener à Leuven. Vue qu’il n’y a plus de déviation, on ne se perd plus et arrivons à Leuven via des routes très sympas. Nous traversons Leuven et une fois sur la grand place espérons trouver une trace du LF57. Bingo on le trouve très facilement!

Nous le suivons jusqu’à Kessel-loo, puis nous perdons sa trace, pour le retrouver plus loin, le reperdre et le retrouver encore! La météo change, le soleil est la et il commence à faire chaud! Les paysage sont magnifiques.

Jolis paysages brabançons
Jolis paysages brabançons

Nous nous guidons à la carte, pour finalement éviter Diest et aller directement à Molenstede, où se trouve notre camping. Nous passons par Scherpenheuvel-Zichem, dont la basilique est plus qu’impressionante.

La, nous ne sommes plus qu’à un jet de pierre de notre camping, où nous sommes tout de même bien content d’arriver! Nous nous installons à côté de cyclo-touristes hollandais, allons nous doucher et après quelques étirement allons manger une spaghetti-bolo à la « Kantine » du camping. Ca fait du bien!

139,76 km * 18,80 km/h

Couvert, ensoleillé, quelques coups de vent, et quelques gouttes!

Pour la 3ème fois nous participons à cette randonnée vélo de parrainage très sympathique organisée par l’ASBL Notre Abri, qui consiste à revenir de la mer en vélo et de permettre, grâce aux parrainages, d’offrir quelques jours de détente à la mer aux enfants pris en charge par l’association.

Levés tôt, nous partons à pieds jusqu’à la gare du midi et arrivons trempés jusqu’aux os, ca commence bien! Nous prenons le train de 6h32 et arrivons environ une heure plus tard à Heist. Quelques instants d’attente pour retrouver nos vélos et nous nous mettons en route. Le ciel est couvert, mais il ne pleut pas.

Petite nouveauté pour nous qui ne l’avons plus fait depuis 2 ans, nous ne sommes plus les seuls en tandem!

Le trajet est similaire aux autres années, forcément. On roule le long des canaux, à une allure calme, il faut ménager nos jambes!

Le long des canaux
Le long des canaux

Nous passons par Damme, Brugge, et rejoignons Gent vers midi. Comme d’habitude, nous mangeons plus loin, à Melle, sur la place, devant le Melle Rose place. 🙂

Pour rejoindre Bruxelles, nous passons par Alost puis Linkebeek. C’est à ce moment la que les premières « montées » arrivent. Ca fait du bien au fesse d’ailleurs!

Nous devons malheureusement quitter le groupe à Uccle, peu avant de rejoindre le centre, ce qui fera que nous n’auront même pas fait les 140km annoncés!

60,09 km * 16,82 km/h

Ensoleillé mais brumeux, pas trop chaud.

Levé tardif et météo bien bouchée ne nous font pas changer d’avis, on part faire du tandem.

Vu qu’on a nos pneus “route” on se décide pour un parcours pas trop tout terrain. En se fiant à l’expérience de mon capitaine et de ses trajets boulot/dodo, nous partons en direction de la “morne plaine”.

Pour ce faire, début par la forêt de soignes jusqu’à l’entrée du domaine d’argenteuil. Le soleil perce à travers les feuilles des arbres, ce qui crée une atmosphère féérique. Nous passons par la maison du seigneur et la bifurquons à droite vers Argenteuil. A cette heure il faut encore calme et nous ne croisons pas trop de monde.

Au domaine nous tournons à gauche et dégringolons vers La Hulpe sur un chemin dont la qualité laisse à désirer. Nous croisons une voiture qui passe comme une bombe, on suppose qu’il pense participer à un rallye… Nous sommes donc sur nos garde…

On passe devant une ribambelle d’anciennes petites maisons, plus jolies les unes que les autres. C’est très joli et très valonné… Oumf!

De la nous pointons vers Lasne, puis le golf de Waterloo. Nous passons dans des endroits superbes, entrecoupés d’une multitude de sentiers de randonnée! Ca donne des idées ca!

Nous roulons à travers les champs et appercevons un… Lion! Nous croisons le folklorique bus/camion touristique du lion, amusant!

Derrière l'arbre, un lion...
Derrière l’arbre, un lion…

La lumière est pas top mais nettement meilleure. Nous tentons quelques photos. Nous traversons la N5 et roulons sur des chemins un peu difficile, mais on passe. On tourne un peu autour du lion avant de reprendre le même chemin qu’à l’allée, à quelques exceptions près, pour rentrer.

On repasse à notre endroit de picnic, en plus milieu du golf de Waterloo, et nous faisons notre seconde pause-nourriture, c’est trop beau!

Coin picnic
Coin picnic

70,82 km * 19,12 km/h

Sortie estivale en ce 1er mai.

On a congé, il fait beau et on doit tester les pneus marathon sur le tandem. Cool! On pense à notre « boucle LF6 », qu’on a rarement eu l’occasion de faire sous le soleil.

On démarre en traversant Uccle. Il fait superbe, quoique un peu froid. Le vent est frais, et ca fait du bien.

On essaie de faire le trajet de la promenade verte. Mais on voit que ca fait longtemps qu’on ne l’a plus fait, en plus parfois on le fait à notre manière. Donc on se plante quelquefois!

En arrivant à la limite d’Uccle, on se décide à essayer une autre chemin, en passant par Linkebeek pour rejoindre le LF6 à Rhode. On ne passera donc pas en forêt de soignes, dans laquelle, de l’autre côté on était en train d’éteindre un incendie, mais ca, nous ne l’apprendrons que le soir.

Près de Linkebeek
Près de Linkebeek

Cette partie de Linkebeek est superbe. On multiplie les arrêts photos. Le ciel est bleu, la lumière franche… Le rêve! Un troupeau de vaches viennent même regarder notre tttim!

Meuh... Curieuses les vaches!
Meuh… Curieuses les vaches!

On rejoint le LF6 sur la drève de la forêt de soignes où nous faisons un pit stop au delhaize qui est ouvert en ce jour férié et d’ailleurs très fréquenté. Un rodéo maladroit de SUVs dans le parking distrait mon capitaine qui m’attend dehors.

Nous passons devant une brocante sur la parking de la gare de Rhode qui a aussi fait déplacer les foules.

Quelques kilomètres plus loin, on peut enfin quitter la route et partir dans des petits chemins bien plus sympathiques. Aux environs d’Alsemberg et avec une superbe vue sur bruxelles nous mangeons nos sandwiches au soleil. Après avoir bien profité de cette pause nous reprenons la route. Passages très chouettes dans les campagnes et nous voila bien vite au canal. Mais nous n’avons pas envie de rentrer! Je propose une petite pointe jusqu’à Ittre, mon capitaine est d’accord, allons-y!

Le long du canal on roule vite, quoique nous ayons l’impression d’avoir le vent de face. En arrivant aux environs de Ittre, la voie est coupée! On hésite à prendre le chemin qur l’autre berge, puis finalement on tente par la route. On en s’en rend pas compte, mais on s’écarte fortement du canal et ca monte! On rejoint le canal au-dela de l’écluse d’Ittre. On revient donc en arrière et décidons de boire un verre et de remplir notre camelbak qui est à sec à l’éablissement en face du petit port.

Reflets du canal
Reflets du canal

Retour peinard, pause balisto, beaucoup d’autres vélo, mais juste ce qui faut!

Nous tentons un retour sur Forest par Ruisbroek, ca parait plus court et ca change!

35,58 km * 19,62 km/h

Sortie matinale ensoleillée.

Sortie sympa pour s’ouvrir l’appétit avant d’aller manger chez des copains!

29,30 km * 20,59 km/h

Première sortie « du soir » sous un soleil délicieux.

Woaw; il fait superbe, les journées s’allongent et en plus mon capitaine est rentré tôt du boulot! C’est une occasion à ne pas manquer!

Nous partons donc vers 18h30 en direction de la forêt de soignes, il faut 18°. Super agréable!

Comme d’habitude, nous rejoignons le bois de la cambre en passant par Uccle. Il y a relativement peu de voiture, vacances obligent. Ce qui n’empêche les automobilistes de ne pas être très éveillés. Du bois, nous gagnons la forêt, après avoir croisé quelques vététistes enthousiastes! Nous faisons notre parcours habituels « post-boulot », à belle allure. La météo est superbe, ca roule super bien, c’est génial.

Ganzepootvijver
Petite pause au Ganzepootvijver

La descente vers les Gansepootvijvers se fait à belle vitesse, car nous n’y croisons personne! Retour par les chemins bien connus et adorés!

Quel bonheur de manger ce rösti bernois après la douche!

87,68 km * 19,89 km/h

Un beau ciel bleu qui se couvre… avant de se dégager à nouveau.

Ce week-end devait être une week-end de tandem, avec remorque, nuit au camping et tout le tremblement… Sauf que ce matin, en prenant la remorque dans la cave, on s’est rendu compte que la roue était bloquée. Après avoir forcé un peu, la roue tournait bien un peu, mais avec une grosse résistance dans le moyeu. Pas la peine de prendre le risque de se retrouver loin de tout avec une roue totalement bloquée ou un roulement cassé.

On change donc nos plans et partons pour la journée direction Leuven. Le départ se fera par la forêt de Soignes en direction de Tervuren, via une route que nous ne connaissons pas (c’était la route prévue pour notre week-end, pour rejoindre Leuven plus vite que par le LF2-6 que nous connaissons bien maintenant). Une fois au Carrefour Léonard, on suit les pancartes « Tervuren pour les vélos ». Le chemin nous mène directement vers l’arborétum que la piste cyclable traverse. Le chemin est descendant et roulant, c’est donc agréable et rapide… Par contre, le temps se couvre vachement. Le ciel au-dessus de nous est tout gris, et nous cache le soleil qui nous réchauffait tout de même agréablement…

On trouve régulièrement des « champignons » indiquant les directions (et kilométrages) en vélo vers différentes villes. Pratique ! Par contre, on finira assez à sortir de trajet à cause d’une déviations temporaire…. Toujours la même histoire ! Enfin, il fait beau, les paysages sont fort sympathiques, et on ne sera pas longtemps « perdu ». On finira sur la N3 direction Leuven. Peut-être pas la piste la plus passionnante, mais elle est royale !

On quittera la N3 peu avant Leuven, pour rejoindre la LF2-6 et rejoindre le campus de la KUL et surtout la cafétaria du centre sportif, où on mangera des penne bolognaises.

Le retour se fera via le LF2-6 que l’on emprunte d’habitude dans l’autre sens… Amusant de découvrir le paysage « à l’envers ». Cela étant dit, les kilomètres s’additionne, et la fatigue commence à se faire sentir. Surtout au niveau du séant qui nous rappelle que le confort de la selle est aussi une question d’entraînement…

Retour à la maison sous le soleil… C’est qu’on finissait par être fatigué…

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